appliquela convention collective nationale Production Agricole / CUMA du 15 septembre 2020. Par application de l’article L. 2232-21 du Code du travail, la prĂ©sente sociĂ©tĂ©, dĂ©pourvue de dĂ©lĂ©guĂ© syndical, et dont l’effectif habituel est infĂ©rieur Ă  11 salariĂ©s, a dĂ©cidĂ© de soumettre Ă  son personnel un projet d’accord dont l’objet est dĂ©fini ci-dessous.
NOUVELLE CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE PRODUCTION AGRICOLE ET CUMA A compter du 1er avril 2021 une nouvelle convention collective nationale CCN entre en vigueur. Elle concerne tous les employeurs et les salariĂ©s de la production agricole et des CUMA. ConformĂ©ment Ă  l’arrĂȘtĂ© du 2 dĂ©cembre 2020 publiĂ© au JORF n° 0009 du 10 janvier 2021, Ă  partir du 1er avril 2021, tous les employeurs et les salariĂ©s de la production agricole et des CUMA seront couverts par la nouvelle convention collective nationale CCN signĂ©e le 15 septembre dernier par les partenaires sociaux de l’agriculture. Ne sont pas concernĂ©s par cette convention les secteurs suivants les entreprises de travaux agricoles, ruraux et forestiers, les centres Ă©questres, les entraineurs de chevaux de courses, les champs de courses, les parcs zoologiques et les Ă©tablissements de conchyliculture. Plus d’information sur le site NOUVELLE CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE ENTREPRISES DE TRAVAUX ET SERVICES AGRICOLES, RURAUX ET FORESTIERS ETARF La nouvelle convention collective s’appliquera Ă  partir du 1er avril 2021 aux travaux et services agricoles ruraux, aux travaux et services forestiers en sylviculture, aux travaux et services forestiers en exploitation forestiĂšre et aux travaux et services avicoles. Conventioncollective nationale de la production agricole et CUMA du 15 septembre 2020 Accords de branche et conventions collectives; Accords d'entreprise; Publications officielles. Bulletins officiels; Bulletins officiels des conventions collectives; Journal officiel; DĂ©bats parlementaires; Questions Ă©crites parlementaires; Documents administratifs; À partir du 1er avril 2021, une convention collective nationale couvrant toutes les entreprises et les salariĂ©s de la production agricole et des Cuma, devrait ĂȘtre en vigueur. Ce texte est l’aboutissement de trois annĂ©es de nĂ©gociations entre les partenaires sociaux agricoles salariĂ©s et patronaux. La FNSEA et la FNCuma d’une part, et les cinq organisations syndicales de salariĂ©s, CFDT, CFTC, CGC, CGT et FO, d’autre part sont parvenues, le 21 septembre dernier, Ă  trouver un accord sur une convention collective nationale pour les entreprises de production agricole et pour les Cuma. Restructurer le paysage conventionnel À l’origine de cette Ă©volution du cadre rĂ©gissant les relations entre l’employeur agricole et ses salariĂ©s, la demande faite aux branches professionnelles par les gouvernements successifs de restructurer le paysage conventionnel. Avec 141 conventions collectives territoriales et professionnelles traduisant l’autonomie des territoires en matiĂšre de conventions collectives et dialogue social, et une trentaine d’accords nationaux agricoles sur des thĂ©matiques, tels que la durĂ©e du travail, le dialogue social, la protection sociale, la formation professionnelle
 La Bretagne n’échappait pas Ă  cette complexitĂ© avec dix conventions collectives applicables en production agricole sur le territoire.. La convention promeut une nouvelle approche en termes de classification des emplois. Une "base normative nationale commune aux agriculteurs" L’accord trouvĂ© fin septembre sur une convention collective nationale "permet d’avoir une base nationale commune" de normes pour l’ensemble des secteurs de la production agricole, de l’élevage aux productions vĂ©gĂ©tales, et y compris des secteurs comme l’aquaculture ou l’accouvage souligne Thomas Ligavan, en charge de la commission employeurs Ă  la FRSEA Bretagne. La convention propose une nouvelle approche en termes de classification des emplois, basĂ©e sur les compĂ©tences, afin de mieux reconnaĂźtre la qualification des mĂ©tiers agricoles et de favoriser l’évolution professionnelle des salariĂ©s. La nouvelle grille de classification s’appuie sur cinq critĂšres classants technicitĂ©, autonomie, responsabilitĂ© avec deux sous-critĂšres enjeux Ă©conomiques et respect des normes, management et relationnel. Chaque critĂšre comprend plusieurs degrĂ©s en fonction des compĂ©tences de chaque emploi, et un nombre de points est attachĂ© Ă  chaque degrĂ©. L’addition de ces points va correspondre Ă  un coefficient d’emploi qui va s’appliquer Ă  l’emploi ou aux emplois de l’exploitation. De lĂ , dĂ©coule le salaire minimum applicable Ă  l’emploi ainsi dĂ©fini et le statut du ou des salariĂ©s occupant cet emploi. En effet, parmi les nouveautĂ©s en Bretagne de cette convention collective agricole nationale, des emplois avec statuts de techniciens, agents de maĂźtrise vont se mettre en place Enfin, sur un certain nombre de sujets, parmi lesquels la durĂ©e du travail, la convention collective renvoie aux accords nationaux existants qui restent applicables. Les conventions dĂ©partementales deviendront des accords collectifs qui vont continuer dans l’immĂ©diat Ă  s’appliquer pour les dispositions plus favorables que celles de la convention nationale. Les nĂ©gociateurs patronaux et les services emploi des FDSEA vont dĂ©sormais s’attacher Ă  finaliser la dĂ©marche de simplification initiĂ©e par la convention collective nationale. Le rĂ©seau patronal mobilisĂ© pour former et informer les employeurs agricoles Avec comme prioritĂ©, permettre aux employeurs de mettre en place rapidement la nouvelle classification des emplois, les FDSEA de la rĂ©gion se mobilisent pour proposer des formations lire page 19 du Terra 776 du 8/01/2021 et/ou un 1er niveau d’informations via une sĂ©rie de webinaires de 45 mn / 1h organisĂ©s jusqu’en avril prochain. INSCRIPTION aux formations ou formulaire d’inscriptions Retraite supplĂ©mentaire des non-cadres Une nĂ©gociation a eu lieu en parallĂšle de celle de la convention collective nationale, sur la retraite supplĂ©mentaire pour les salariĂ©s non cadres agricoles. Un accord national a Ă©tĂ© conclu en date du 15 septembre 2020. L’objectif est d’offrir plus d’attractivitĂ© aux secteurs professionnels agricoles. Il ouvre Ă  tous les salariĂ©s non cadres ayant au moins 12 mois d’anciennetĂ© un accĂšs Ă  un complĂ©ment de retraite sous forme de rentes ou de capital. Le financement est assurĂ© par une cotisation de 1 % sur les salaires, rĂ©parties Ă  50 % pour la part patronale et pour 50 % pour la part salariale. La mise en Ɠuvre est prĂ©vue pour le 1er juillet 2021. Les salariĂ©s cadres et techniciens, agents de maĂźtrise sont couverts par un dispositif de retraite supplĂ©mentaire existant depuis de nombreuses annĂ©es dĂ©jĂ . JĂ©rĂŽme Volle, prĂ©sident de la Commission Employeurs de la FNSEA "Cette convention est le dĂ©but d’un nouvel Ă©lan" La Convention collective nationale de l’agriculture CCN qui aurait dĂ» entrer en vigueur le 1er janvier 2021 ne sera effective que le 1er avril prochain. Pour autant pour JerĂŽme Volle cette CNN est "historique" . Quel est votre sentiment aprĂšs cette signature ? JĂ©rĂŽme Volle. Nous sommes Ă©videmment satisfaits d’avoir pu conclure cette convention collective malgrĂ© le contexte sanitaire. Toutefois, cela faisait plus de trois ans que les partenaires sociaux se rencontraient rĂ©guliĂšrement. Le temps paritaire est un temps long. La convention collective nationale de la production agricole CCN est effectivement le symbole de la vitalitĂ© et de l’innovation du dialogue social. En quoi constitue-t-elle un progrĂšs pour les salariĂ©s et les employeurs ? La CCN a prĂ©vu un certain nombre de dispositions encore peu frĂ©quentes dans les conventions comme l’organisation du dialogue social sur le territoire, le droit Ă  la dĂ©connexion, le droit Ă  un entretien professionnel supplĂ©mentaire. L’une des dispositions phare de cette CCN est la classification. Le dispositif mis en place s’appuie sur une valorisation des emplois entreprise par entreprise, en fonction du niveau d’exigence attendu de l’emploi sur cinq critĂšres classant. La classification devient un outil de gestion des ressources humaines GRH permettant d’envisager une vĂ©ritable Ă©volution professionnelle au sein de l’entreprise. Au-delĂ  des rendez-vous obligatoires, les partenaires sociaux tiennent Ă  ce que la CCN reste Ă  l’écoute de la sociĂ©tĂ© pour donner aux entreprises agricoles tous les dispositifs leur permettant de rester compĂ©titifs Ă©conomiquement et socialement. Des rendez-vous rĂ©guliers seront organisĂ©s, dĂšs janvier sur la rĂ©vision des minima salariaux articulĂ©s autour de 12 paliers pour les ouvriers, employĂ©s, techniciens, agents de maĂźtrise et cadres. Comment s'articulera cette convention avec les autres conventions ? La convention collective nationale devient le texte de rĂ©fĂ©rence pour toutes les entreprises de la production agricole et les Cuma. Les conventions collectives territoriales ou professionnelles deviennent des accords autonomes. A l’exception des dispositions relatives Ă  la classification ou Ă  la grille de salaire ainsi qu’à toutes dispositions s’y rĂ©fĂ©rant, les dispositions de ces accords autonomes qui sont plus favorables que celles de la CCN ou qui visent des sujets non traitĂ©s par la CCN restent en vigueur. Et aprĂšs ? La CCN n’est pas une fin mais le dĂ©but d’un nouvel Ă©lan pour le dialogue social en agriculture, tant au niveau national qu’au niveau territorial. Ainsi, le niveau territorial pourra se saisir de sujets de prĂ©occupation rĂ©gionale ou d’innovation sociale pour dynamiser son dialogue social territorial.
Ilappartiendra Ă  l’employeur de peser chaque emploi de son entreprise et de le positionner dans la nouvelle grille (en s’appuyant sur le guide paritaire et / ou sur le rĂ©seau FNSEA). L’obligation de l’employeur est de respecter le minimum de rĂ©munĂ©ration de la nouvelle grille et de maintenir le montant de la rĂ©munĂ©ration horaire

Joueravec la parole et le corps pris dans ce ballet ubuesque et quotidien des travailleurs de l’absurde. En premiĂšre ligne d’une guerre totale, sans cesse renouvelĂ©e. Une danse macabre, un charnier de l’absolu et du dĂ©risoire, en amont de cette chaĂźne industrielle et alimentaire qui abreuve nos rĂ©seaux de distribution et d’alimentation ‱ Adaptation, mise en scĂšne et

lesactivités professionnelles de la branche professionnelle Production agricole et de la branche professionnelle CUMA. Par cette convention collective nationale, elles souhaitent donner une nouvelle dimension au dialogue social de ces secteurs professionnels. Toutefois, elles tiennent à
Conventioncollective nationale production agricole et CUMA. Du 15 septembre 2020. Date d’effet. SignĂ©e le 15 septembre 2020 pour une entrĂ©e en application au 1er Avril 2021. La nouvelle convention n’efface pas les conventions territoriales existantes : ces derniĂšres deviennent des accords territoriaux qui se superposent Ă  la nouvelle convention. 26/01/2021. Champ
CONVENTIONCOLLECTIVE NATIONALE DE LA PRODUCTION AGRICOLE ET DES CUMA. CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DE LA PRODUCTION AGRICOLE ET DES CUMA UNE NOUVELLE CLASSIFICATION DES EMPLOIS La convention collective nationale agricole instaure une nouvelle classiïŹcation des emplois qui s’impose Ă  tous. BasĂ©e sur des compĂ©tences et
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